Déjà deux jours à peine de passé dans ce manoir que j'étais déjà perdu.... Enfin perdue est n bien grand mot, je cherchais le patio afin de m'y reposer quand tournant au mauvais moment, je me retrouvais dans le jardin en face du labyrinthe. Poussé par la curiosité, je décidais de m'y aventurer, mais bien évidemment, au bout d'une petite vingtaine de minutes, j'étais complètement déboussolée. En tentant vainement de retrouver la sortie, j'apercevais au détour d'un couloir une silhouette que j'alpaguais :

Heu... Excuses-moi...

J'avais honte, honte de ne pas être parfaite, d'être prise en faute dans un moment de faiblesse. Surtout, qu'en se retournant je reconnue ma camarade de chambre : Éloïse. Nouveau sourire, je tentais de reprendre un peu d'allure, il ne fallait pas qu'elle pense avoir une moins que rien dans son équipe. Je continuais donc...

Éloïse. Saurais-tu par hasard comment sortir de ce bordel ?

J'entendais par bordel, le dédale végétal tout autour de nous. Afin de me faire comprendre, j'agrémentais cela, d'un petit geste circulaire. Sait-on jamais, un quiproquo pouvait si vite arriver.